Nicolas Sarkozy
Enfin un deuxième mandat !
Nicolas Sarkozy va pouvoir faire un nouveau quinquennat... en prison
alors bien sûr tout le monde s'insurge contre la justice qui est politique. C'est un coup de gens qui haïssent Nicolas Sarkozy.
"Ils ont cru m'humilier, mais ils ont humilier la France" a dit Nicolas Sarkozy devant les caméras.
Rien que ça ! La France !!!
Merde alors, salauds de juges
Pour Henri Guaino, c'est la preuve qu'il n'y a plus de séparation des pouvoirs en France (Journal de France 2 ; 25/09/25).
Extraordinaire !
Lorsque les juges condamnent des hommes politiques c'est un manque de séparation des pouvoirs, pas une preuve de culpabilité !
Les hommes politiques, qui contestent le jugement, totalement légal, semblent oublier que se sont les parlementaires, donc eux-mêmes, qui votent les lois qui sont appliquées par la suite par les juges.
Pour nombre d'entre eux, les attaques contre les juges sont toujours justifiées et il ne s'agit pas d'un manque de respect de la séparation des pouvoirs.
Sarkozy critiquait moins les juges lorsqu'il a été disculpé dans l'affaire Bettencourt....
L'ancien chef de l'État est soupçonné d'avoir
voulu corrompre un magistrat pour obtenir en échange des informations
confidentielles sur le dossier Bettencourt, l'affaire qui a éclaboussé
le quinquennat Sarkozy.
L’internationalisation du discours Trumpiste :
Comme quoi la haine, le mépris et la bêtise s’exporte plus facilement que la tolérance, la considération et l’intelligence
In "Le Monde"
Giorgia
Meloni s’érige en modèle pour l’extrême droite française.
La
présidente du conseil italien est intervenue samedi en vidéo, lors
d’un événement organisé par Marion Maréchal. S’exprimant dans
un français fluide, elle a tracé les contours d’une stratégie
visant à transformer l’Union européenne de l’intérieur.
Dans
son allocution … elle a livré sa vision d’une droite vouée à
la victoire totale en Europe, malgré les "semeurs
de "
d’une
gauche qui serait engagée, selon elle, dans une entreprise de
déstabilisation globale. Triomphante et souriante, elle a tracé les
contours d’une stratégie visant à transformer l’Union
européenne de l’intérieur, à en réduire le périmètre et à la
réorienter dans un sens conservateur et identitaire. "Nous
sommes partout dans le monde prêts à assumer la responsabilité
gouvernementale",
a-t-elle déclaré.
Dans cette période
de contrôle des médias, de muselage des oppositions, de menaces contre ceux qui résistent, de pressions sur les fonctionnaires et sur les juges, quelques
voix essayent encore de se faire entendre comme celle de Piero
Ignazi, professeur à l’université de Bologne et spécialiste de
la droite issue de la matrice néofasciste.
"Giorgia
Meloni a parlé comme une cheffe de faction, pas comme une cheffe de
gouvernement, avec pour objectif ce qu’elle dénonce elle-même à
gauche : la diabolisation de ses adversaires politiques. C’est
orwellien"
L'intervention en directe pour ses "chers amis d'identité liberté"
Certes, ce n'est pas parce qu'elle s'exprime remarquablement en français que ce qu'elle dit n'est pas inquiétant, notamment sa définition de "L'Europe des Libertés"... qui doit absolument aller encore plus à droite....
Bernard Arnault au secours de lui-même.
Dans une déclaration accordée au journal britannique The Sunday Times,
Bernard Arnault qualifie l'économiste français (Gabriel Zucman) de "militant d'extrême
gauche" dont l'idéologie "vise la destruction de l'économie libérale".
Sa mise en garde est plus globale: "une taxe sur les riches détruirait
notre économie".
Il ajoute ;
"On ne comprend pas les positions de Monsieur Zucman si l'on oublie
qu'il est d'abord un militant d'extrême gauche. À ce titre, il met au
service de son idéologie (qui vise la destruction de l'économie
libérale, la seule qui fonctionne pour le bien de tous) une pseudo
compétence universitaire qui elle-même fait largement débat"...
On dirait du Trump (grand ami de Bernard Arnaul) tout craché. Attaquer, reléguer dans les extrêmes et mettre en doute la compétence de celui avec qui on est pas d'accord.
Mais, on ne comprend pas la position de Bernard Arnaud si l'on oublie qu'il est d'abord un adepte de l'ultralibéralisme. Il met donc son idéologie prédatrice au service de lui-même et de ses pairs (idéologie qui vise à accaparer le maximum de richesse au détriment de 98% de la population)
Ce à quoi Gabriel Zucman répond
"Bonjour M. Bernard Arnault, la fébrilité n’autorise pas la calomnie.
Les milliardaires ne paient pas ou presque d’impôt sur le revenu et 86% des français ont raison de vouloir mettre fin à ce privilège"
Et alors, que penser de cette affirmation sur les intentions de monsieur Zucman : qui vise la destruction de l'économie
libérale, la seule qui fonctionne pour le bien de tous !!!
Qui peut penser le contraire sans être d'extrême gauche ?
Qui peut nier -sans être d'extrême gauche- qu'avec un taux de pauvreté de 15,4 % (9,8
millions de personnes vivent sous le
seuil de pauvreté en france) l'économie libérale fonctionne ?
Qui peut avoir des doutes -sans être d'extrême gauche-, avec 5 612 100 chômeurs sur les bienfaits de l'économie libérale ?
Qui peut penser -sans être d’extrême gauche- qu’il y a
peut-être un lien entre les 133 000 personnes sans abri, les 117
personnes en logements contrains, les 2 863 000 personnes vivant
dans des logements surpeuplés et/ou insalubres, et le fonctionnement de l'économie libérale ? (source INSEE)
Comme quoi, les ultra-riches, ça ose tout !
En vrac et en désordre
Comment va l'extrême droite ?
In "Le Monde"
Ils le jurent : Charlie Kirk est leur « martyr », leur « héros ».
Vendredi 19 septembre, environ 250 personnes se sont rassemblées sous
le soleil de fin septembre, au pied de la statue équestre de Lafayette,
cours la Reine, dans le 8e arrondissement de Paris.
.../... les personnes présentes en sont persuadées : c’est l’extrême
gauche qui est à l’œuvre
Sur une petite scène, deux bannières représentent Charlie Kirk dessiné, avec le slogan « Je suis Charlie », apparu lors des attentats islamistes contre la rédaction de Charlie Hebdo,
le 7 janvier 2015. Peu importe que le journal défende des valeurs à
l’opposé de celles exprimées vendredi soir (notamment la laïcité, la
liberté des femmes à disposer de leur corps).
Une réponse possible de Charlie
Pendant ce temps, "Valeurs Actuelles" titre :
Assassinat de Charlie Kirk : il faut rompre avec la domination morale de l’extrême gauche pour sauver la démocratie.
Ce qui suit est assez révélateur:
En
France on retrouve les mêmes méthodes staliniennes, on ne cherche
pas à contrer sur le champ des idées mais plutôt à discréditer
son adversaire politique. Si l’extrême gauche tue et a toujours
tué dans notre pays (assassinat du président Sadi Carnot en 1894),
depuis la victoire idéologique de mai-1968, le conservateur est taxé
de fasciste, on le délégitime au lieu de débattre. En d’autres
termes : on ne réfute pas un argument, on efface l’orateur de
l’espace public.
Dans une pays où la majorité des quotidiens, des hebdo, des radios, des télé appartiennent à des milliardaires -sans parler des influenceurs" payés pour intervenir sur les réseaux sociaux-, je me demande comment cette extrême gauche a fait pour effacer "l'orateur de l’espace public" (apparemment un orateur est nécessairement de droite).
Donc à la question ; comment va l'extrême droite,
nous pouvons répondre ;
Elle ose tout...
Lecornu, ou des nouvelles du Cornichon
Pourquoi Le cornichon ?
C'est
Nicolas Sarkozy, ne sachant visiblement pas trop qui était le jeune élu
de l'Eure, qui l'avait rebaptisé aimablement... le Cornichon
Ils ont un point commun ;
In 'Le Figaro"
Le 6 mars 2009, l'université de Nanterre avait publié aujourd'hui
un communiqué pour assurer que le président français Nicolas
Sarkozy avait bien eu son diplôme de troisième cycle en sciences
politiques, un titre remis en cause par un professeur enseignant dans
cette université.
"Contrairement à ce que certains
sites internet ont affirmé depuis le 2 mars", l'université
"tient à préciser que selon ses archives, régulièrement
conservées par le service des diplômes, le jury du a admis le 4
novembre 1980 l'étudiant Nicolas Sarkozy de Nagy"
Alain
Garrigou, professeur de sciences politiques à Nanterre depuis 1992,
a mis en doute l'obtention du DEA affirme notamment que, d'après ses
recherches, Nicolas Sarkozy a été "ajourné" lors de la
première session d'épreuves du diplôme, en octobre-novembre 1979,
et que le procès-verbal de délibération de la deuxième session,
en février 1980, "a disparu des archives de l'université".
Curieuse cette disparition des archives concernant exclusivement la deuxième session de février 1980 !
Mais si c'est le Figaro qui le dit !
Et, que lit-on dans Médiapart ?
in "Médiapart"
Confronté à une enquête de Mediapart, le cabinet du premier ministre
reconnaît finalement que Sébastien Lecornu n’est pas diplômé d’un master
de droit public. Selon plusieurs documents, lui ou ses équipes
indiquaient pourtant l’inverse depuis 2016.
Le
premier ministre a bien manipulé la réalité. Jusqu’à présent, les
portraits de Sébastien Lecornu, ministre en continu depuis 2017,
livraient tous les mêmes indications sur son cursus universitaire.../... l’ancien ministre
des armées a validé une licence de droit à l’université Paris II-Assas
et aurait ensuite obtenu un master de droit public
La médaille d’or revient, pour
l’instant et en attendant qu’elle soit détrônée, à Rachida
Dati.
son parcours :
Elle passe une licence en 1990. puis une maîtrise en sciences économique en 1991,
En 1996, elle obtient une maîtrise en droit public en bénéficiant de la validation des acquis de l'expérience (mention passable)
La même année elle entre à Ecole Nationale de la Magistrature où elle est admise sans passer les épreuves du concours ! Le Canard Enchaîné précise en 2007 qu'elle aurait produit un faux curriculum vitae sur son dossier de demande d'entrée à l'ENM (elle prétend être titulaire d'un MBA européen du groupe HEC-ISA). Le directeur d'HEC précise qu'elle n'a pas obtenu le diplôme
https://fr.wikipedia.org/wiki/Rachida_Dati
Quand je dis que nous sommes gouverné par des intellectuels !
Agression filmée d’un policier à Tourcoing : des policiers manifestent contre la remise en liberté de deux suspects
In 'Le Monde'
Plus d’une centaine de fonctionnaires se sont rassemblés vendredi
devant le commissariat de la ville pour dire leur colère. Gérald
Darmanin avait déploré, jeudi, la décision du juge des libertés de
relâcher deux agresseurs présumés, qui ont été placés sous contrôle
judiciaire.
Cette agression a été particulièrement violente et est inexcusable, mais il me semble que les mêmes acteurs n'ont rien à redire sur la façon dont les policiers ont traité la jeune femme sur la vidéo publié sur "Le Monde" et dont j'ai mis le lien sur le post du 18 septembre.
Manifestement la justice dérange toujours les élus et autres ministres lorsqu'elle applique les lois votées par les députés.
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